Réseaux
Le Centre Primo Levi fait partie de plusieurs réseaux avec lesquels il partage des informations, travaux et réflexion, et mène régulièrement des actions de plaidoyer.
Promouvoir l’accès à des soins adaptés pour les personnes victimes de la torture
Le Centre Primo Levi est membre de l’Observatoire du droit à la santé des étrangers (ODSE) et membre fondateur de Réséda, réseau francophone qui réunit 9 centres de soins basés en France, en Belgique, en Suisse, en Algérie et au Liban. Il a également participé aux travaux du Réseau européen des centres de soins pour victimes de la torture (European network of rehabilitation centres for survivors of torture).
Défendre le droit d’asile
Le défaut de reconnaissance des souffrances endurées dans leur pays d’origine et/ou sur le trajet migratoire, ainsi que la crainte d’être refoulé aggravent les souffrances des femmes, des hommes et des enfants qui ont dû fuir leur pays. La précarité des conditions de vie liée à leur situation administrative constitue un obstacle aux soins requis par leur état de santé. Témoin des effets de la torture et de la dégradation des conditions d’accueil des personnes exilées, le Centre Primo Levi s’est engagé dans la défense du droit d’asile. Ainsi, il participe activement aux travaux de la Coordination française pour le droit d’asile (CFDA) et est membre d’InfoMIE, centre de ressources sur les mineurs isolés étrangers.
Le Centre Primo Levi est également membre de l’Uriopss Île-de-France (Union régionale interfédérale des oeuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux), qui “porte auprès des pouvoirs publics franciliens la voix collective des associations des secteurs sanitaire, social et médico-social, engagées aux côtés des personnes vulnérables et fragiles”. Enfin depuis 2022, nous sommes membres observateurs de Coordination Sud, la plateforme des associations françaises de solidarité internationale.