22 coureurs sur la ligne de départ

Dimanche 19 juin à 10h30, le coup de sifflet du départ résonnera au Parc de Saint-Cloud. Cette année, l’équipe qui courra pour le Centre Primo Levi a battu des records : 22 coureurs, qui grâce à leur engagement et à la mobilisation des donateurs de l’association, ont collecté un peu plus de 12 000 € !

Au programme

La Course des Héros est un des plus grands évènements caritatifs et festifs qui rassemble chaque année plus de 3500 participants et qui permet de soutenir plus de 200 causes. Chaque « héros » choisit la cause pour laquelle il souhaite se mobiliser et courir.

Les coureurs ont le choix entre trois parcours :

– 10 km en courant

– 6 km en marchant ou en courant

– 2 km en marchant ou en courant.

De nombreuses animations sont proposées tout au long de la journée : concours de déguisements sur scène, échauffement collectif, chorégraphie des Héros, cérémonie de remise des prix, animations diverses sur le village…

N’hésitez pas à venir soutenir notre équipe et à participer à notre pique-nique final… si la météo le permet !

A quoi vont servir les dons récoltés ?

Les fonds sont intégralement reversés à l’association et servent à financer un projet ou une action.

En 2015, grâce à la formidable mobilisation des coureurs et la générosité de leurs proches, nous avons pu financer un suivi complet pour deux familles qui ont fui leur pays où elles ont été victimes de violences.

Cette année, les résultats de la collecte permettront à 60 personnes suivies au Centre Primo Levi d’être accompagnées d’un interprète professionnel tout au long de leur suivi psychologique, pendant 1 an.

En effet, la question de la langue est un véritable enjeu pour avoir accès aux soins et aux droits. Le Centre Primo Levi reçoit de plus en plus de patients non-francophones et les besoins en interprétariat sont grandissants. Avec la crise syrienne et les conflits dans la région, on peut s’attendre à une forte croissance de personnes en provenance du Moyen-Orient. L’interprète est essentiel pour qu’un véritable travail thérapeutique puisse avoir lieu : il est trop difficile pour les patients d’évoquer ces épisodes traumatiques dans une langue qu’ils ne maîtrisent pas, et il est impensable de demander à un proche ­ conjoint, voire enfant ­ de traduire l’indicible.

Merci à tous les coureurs et aux donateurs qui les ont aidés à obtenir leur dossard, et rendez-vous dimanche !