A l’occasion de la Journée internationale des réfugiés, le Centre Primo Levi publie son rapport « Santé mentale des personnes exilées : une souffrance invisible », et demande que celle-ci soit enfin considérée comme un véritable enjeu de santé publique et de société.
Faute de système de santé adapté, le dispositif d’accueil existant en France peut-il offrir un repos à cette souffrance psychique ? Si des avancées ont été réalisées, les conditions de prise en charge sont inadaptées aux besoins et aléatoires selon les régions. Les conséquences psychologiques sont considérables.
Le Centre Primo Levi formule les recommandations suivantes :